En 1911, l''Afrique du Sud compte 4 millions de Noirs, 1,3 million de Blancs, 525 000 métis et 150 000 Indiens [85]. La politique raciale et indigène du gouvernement Louis Botha s''inscrit dans la continuité des lois coloniales britanniques, appliquées en fonction du code de couleur, la Colour bar, qui réglemente les relations interraciales.